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Re: [discussions] Date limite le samedi 26 mai ! ! !

Posté par Jihadwachill@aol.com le 23/5.

piece jointe : TEXT/HTML
De quoi est-il donc question dans ce mail ?

D'abord d'un bureau national qui n'existe manifestement plus (voir à ce 
propos les mails de commentaire du déroulement du CN : soit sa destitution a 
été votée malgré le vote en sa faveur d'adhérents de l'Unef-id et il n'a plus 
d'existence légale, soit il n'est plus que virtuel -puisque sauvé par des 
adhérents virtuels car doublement cartés- , dans les deux cas, son 
illégitimité est manifeste et sa qualité de direction de l'UNEF tient de 
l'auto-proclamation en tant que tel).

Ensuite d'un Congrès convoqué dans des conditions contrevenant aux statuts 
(entre autre du fait de la participation au vote d'adhérents de l'UID, en 
contradiction avec l'article 37 du règlement intérieur de l'Union nationale, 
participation qui a eu pour conséquence de viscier l'honnêteté et la 
régularité du vote conduisant à sa convocation), ce qui le rend de ce fait 
anti-statutaire, et contre la logique la plus élémentaire (pourquoi pas un 
Congrès en août puisqu'on y est ?).

Il est question d'argent (4f par carte remontée, sans compter les 
déplacements des délégués et les mandats, çà va couter bonbon aux AGE !), 
alors que les finances des AGE sont souvent au plus bas en cette période. Une 
façon de "rançonner" une dernière fois les AGE avant de fermer la boutique ?

Dans ces conditions, et sachant qu'une procédure judiciaire va être ouverte 
pour contester les votes litigieux du CN et donc ce Congrès qui découle de 
ces votes, pourquoi y aller ? D'abord, il y a mieux à faire en cette 
période... Plus sérieusement, y aller, c'est valider les irrégularités 
commises sur les votes le convoquant ! Enfin, laissons les se ridiculiser à 
deux pelés et trois tondus si çà leur fait plaisir et que la justice 
(forcemment bourgeoise alors...) se refuse à donner droit à nos légitimes 
demandes. De toute façon, l'UNEF, c'est nous, ses AGE et tant que nous 
vivrons, l'UNEF, notre UNEF, vivra !