[discussions] Faut pas pousser Meme dans les orties ! (Re : Quelques pr =?ISO-8859-1?B?6Q==?=cisions importantes...)
Posté par UNEF Evry le 18/6.
Aussi profond que soit notre souci de ne rien faire ni dire qui puisse nuire
à l'unité des AGE qui refusent la dissolution,
aussi sincère que soit notre amitié pour l'UNEF Paris XII, avec laquelle,
depuis qu'elle nous a rejointe il y a un an à l'occasion des élections du
CNESER, nous nous sommes toujours trouvés d'accord,
il y a des choses que, dans l'intérêt même de cette amitié et de cette
unité, nous ne pouvons laisser dire et publier sans réagir fermement.
Depuis le "CN" du 13 mai, un groupe, animé par ceux qui furent, par
incompétence ou par choix délibéré, les principaux responsables de l'échec
du 13 mai, a considéré, officiellement, que les AGE parisiennes étaient
seules aptes à diriger la reconstruction (les camarades des AGE de provinces
dont Philippe Lieutaud a ajouté la signature à un communiqué bidonné dont
elles n'ont jamais entendu parler sont payés pour le savoir), et que cette
direction devait exercée au moyen de réunion qu'il convoquait. En fait, le
principe était: on se met d'accord sur une date et un lieu et, au dernier
moment, alors que circonstance aggravante on est en pleine période
d'examens, on prévient les autres. Puis on s'étonne qu'ils ne puissent
venir et on sous-entend que c'est mauvaise volonté de leur part.
Malgré cela, l'UNEF Evry avait pu, pour une de ces réunions, mandater un
camarade en qui nous avions toute confiance pour la représenter. La présence
de ce camarade a été rejetée par Philippe Lieutaud et Julien Giral, contre
l'avis des représentants de Paris I qui ont alors déclaré que la réunion ne
pouvait se tenir. Malgré cela, Julien semble considérer les décisions de
cette réunion comme valides et nous engageant tous. C'est un peu fort de
café.
La dernière réunion, celle qui a conduit à l'envoi par Philippe Lieutaud
d'un prétendu ordre du jour le samedi 9 juin, semble s'être tenue ce même
jour. En effet, notre président, Guirec Manceau,a eu dans l'après-midi un
message de Sylvestre Roth lui demandant s'il était dans la manif parce que
dans ce cas "on pourrait causer". Guirec n'était pas dans la manif: il avait
un exam le lundi. Bel exemple de convocation d'une réunion qu'on veut
décisionnelle ! Précisons encore que le camarade que nous avions
précédemment mandaté pour nous représenter était dans la manif et y a croisé
Sylvestre, qui ne lui a pas dit un mot de ce qui se préparait, et a refusé
de répondre à une question qu'il lui a posée à ce sujet.
Nous étions donc plus que fondés à considérer le message de Philippe
Lieutaud comme le énième épisode d'une série de grenouillages parisiens dont
nous étions déterminés à nous désintéresser.
Nous ne dirons jamais assez combien nous sommes reconnaissants à l'UNEF
Paris I d'avoir pris une initiative susceptible de nous faire sortir de ces
grenouillages en lançant en son nom propre une invitation fondée
statutairement à l'Assemblée générale extraordinaire que nous appelions de
voeux depuis le 13 mai. L'UNEF n'a pas besoin d'un "stage de formation" où
Philippe et Sylvestre, en se fondant sans doute sur l'expérience de leurs
multiples échecs, expliqueraient aux provinciaux et banlieusards ébaudis ce
qu'il convient de penser. Elle a besoin d'une réunion statutaire pour que
toutes les AGE qui constatent la vacance de la direction puissent débattre
sur l'ordre du jour qu'elles choisiront librement, et jeter les bases de la
reconstruction de l'Union nationale. Cela nous semble impliquer et
l'élection d 'une direction provisoire, et la perspective d'un congrès.
Chacun peut apprécier la différence de démarche. Philippe Lieutaud et ses
quelques amis lancent une convocation en prétendant imposer un titre anti
statutaire, un ordre du jour et des présidents de séance, et ce en voulant
faire croire qu'ils parlent au nom de tous.
L'UNEF Paris I, en affirmant clairement qu'elle agit de sa propre
initiative, propose pour la réunion statutaire que les circonstances
appellent un lieu et une date, et joint une proposition d'ordre du jour et
de modalités qu'elle soumet au débat des AGE.
Pour sa part, l'UNEF Evry est en plein accord avec ces propositions, comme
elle l'a déjà fait savoir. Elle n'en sera pas moins attentive aux
propositions alternatives qui pourront émerger. Ce sera évidemment aux AGE
qui se réuniront le 28 de déterminer après débat l'ordre du jour de leur
réunion.
Elle est navrée des manoeuvres de division qui se font jour, qui ne peuvent
que faire le jeu des liquidateurs. De Philippe Lieutaud, que deux de nos
représentants ont vu liquider l'UNEF Paris IV pour la transformer en AGEPS,
avec un manifeste ouvertement anti UNEF qui a depuis été diffusé par tract à
Paris IV, elles ne peuvent nous étonner. Il est logique qu'il veuille faire
de l'Union nationale ce qu'il a fait de l'UNEF Paris IV.
Nous ne pouvons croire en revanche que les camarades de Paris XII aient les
mêmes intentions. Nous espérons de tout coeur qu'ils prendront conscience
qu'ils ont été trompés, et participeront avec nous tous à l'AG
extraordinaire, plutôt que s'associer à la mise sur pied d'une réunion
concurrente n'ayant d'autre but que semer la confusion.
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De : giral@infonie.fr
À : ,
Objet : [age] Quelques précisions importantes...
Date : Dim 17 juin 2001 1:03
je suis étonné par certains propos.
L'ordre du jour de l'assemblée générale extraordinaire et stage de formation
des age et adhérents de l' UNEF ( 28-29 juin) n' a pas été imposé aux age.
Jihad (p1), sylvestre (p1), vanessa (p1), phillipe (p4), joel (p11) et
julien (p12) se sont réunis trois fois pour déterminer l'ordre du jour, les
présidents de séance et les différents ateliers. L'age d'Evry était conviée
mais n' a pas pu se déplacer.
Après débat lors de ces trois réunions, un ordre du jour a été rédigé et
envoyé aux age, EN AUCUN CAS IL A ETE IMPOSE.
Malheureusement le message a été censuré. Pourquoi ?
J'invite l'ensemble des AGE à participer à l'assemblée générale
extraordinaire et stage de formation des 28-29 juin convoqué par P4, P11,
P12 et une partie des adhérents de P1.
Amitiés syndicales.
Julien Giral, Président de l'UNEF PARIS XII ( Créteil)
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